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Coupe du Monde 1950 en Photos 1 er Tour Tour FINAL
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4 eme Edition : Brésil 1950 Ce n'est que douze années plus tard que la Coupe du Monde connaîtra sa quatrième apothéose. En 1942, date logique de cette quatrième édition, c'est la guerre et le congrès de la F.I.F.A. prévu à Luxembourg qui devait en 1940 fixer le lieu des rencontres n'eut pas lieu. C'est le 1er juillet 1946 que les hautes instances purent enfin se réunir et décidèrent de confier au Brésil, révélation du précédent tournoi, l'organisation des rencontres après avoir obtenu le droit de modifier la formule de la compétition. Il devenait évident, en effet, que les déplacements au Brésil allaient entraîner des frais d'organisation importants. Le congrès de la F.I.F.A. à Luxembourg accéda aux demandes brésiliennes et le cahier d'engagement enregistra trente noms. Des inédits, et non des moindres, les quatres associations britanniques. Les rancoeurs sont enfin apaisées. L'Europe centrale, en revanche, boude cette fois la compétition. C'est sans doute l'Union soviétique qui vient d'adhérer à la F.I.F.A. qui est à l'origine de ce mouvement d'humeur. Seules Autriche et Yougoslavie ont fait parvenir leur engagement, la première déclarant forfait par la suite avant même les épreuves éliminatoires. Ce forfait sera suivi de ceux de l'Indonésie, l'Equateur, le Pérou, la Birmanie, les Philippines, l'Argentine et la Belgique. On enregistrera aussi le dédit de la Turquie de l'Ecosse et des Indes. On notera également que c'est au congrès de Luxembourg que le vice-président belge de la F.I.F.A Seedrayers, proposa que la Coupe du Monde prenne le nom de "Coupe Jules-Rimet" pour rappeler l'action internationale du dirigeant français. Pour la première fois, la France est absente de la compétition mondiale. Elle n'a pu obtenir sa qualification face à la Yougoslavie. Après avoir réussi deux matches nuls à Belgrade, les tricolores s'inclineront lors d'un match de barrage à Florence par un but de Tchaïkowsky. Le tournoi ne réunit donc que treize équipes réparties en quatre poules , les quatre vainqueurs constituant une poule finale. Deux groupes éliminatoires seulement vont réunir les quatre concurrents prévus : Brésil, Yougoslavie, Suisse et Mexique pour le premier groupe. Angleterre, Espagne, Chili et Etats-Unis pour le second. Le troisième se compose de la Suède, de l'Italie et du Paraguay. La quatrième poule ne groupe que la Bolivie et l'Uruguay. Ce dernier n'a aucune difficulté à vaincre son adversaire (8-0) On remarquera que sur les huit bus quatre ont été l'oeuvre de Schiaffino, l'un des plus grands attaquants de tous les temps. Le Brésil reste le super-favori de cette édition. Tout d'abord il possède l'avantage d'opérer devant son public ; ensuite avec une formation composée d'hommes tels Maneca, Zizinho, Ademir, Jaïr Chico, Barboza, Augusto, Danilo, Juvenal, Bauer, Bigode, les Sud-Américains font figure d'épouvantail. Premier Tour Groupe A Brésil 4-0 Mexique Yougoslavie 3-0 Suisse Brésil 2-2 Suisse Yougoslavie 4-1 Mexique Brésil 2-0 Yougoslavie Suisse 2-1 Mexique 1 Brésil 5 2 Yougoslavie 4 3 Suisse 3 4 Mexique 0 Groupe B Angleterre 2-0 Chili Espagne 3-1 USA Espagne 2-0 Chili USA 1-0 Angleterre Espagne 1-0 Angleterre Chili 5-2 USA 1 Espagne 6 2 Angleterre 2 3 Chili 2 4 USA 2 Groupe C Suède 3-2 Italie Suède 2-2 Paraguay Italie 2-0 Paraguay 1 Suède 3 2 Italie 2 3 Paraguay 1 Groupe D Uruguay 8-0 Bolivie 1 Uruguay 2 2 Bolivie 0 Tour final Brésil 7-1 Suède Uruguay 2-2 Espagne Uruguay 3-2 Suède Brésil 6-1 Espagne Suède 3-1 Espagne Uruguay 2-1 Brésil 1 Uruguay 5 2 Brésil 4 3 Suède 2 4 Espagne 1 Finale : Brésil - Uruguay C'est une sorte de révolution rien n'est pourtant joué. 200 000 spectateurs se bousculent au stade de Maracana. Il y a des blessés. Le spectacle est imposant, gigantesque, tonitruant. Les mots deviennent impuissants pour décrire l'atmosphère. L'Uruguay laisse les supporters brésiliens s'époumoner. - Rira bien qui rira le dernier, pensent-ils. Certes, les Uruguayens ont éprouvé bien des difficultés face aux Espagnols, mais ils savent se battre et le football qu'ils présentent est d'une technique pure. Leurs individualités sont marquantes. On y relève les noms de Juan Schiaffino, l'élégant inter droit au jeu précis, le capitaine Obdulio Varella, un Noir puissant et expérimenté. Alcide Ghiggia, ailier rapide et efficace et bien d'autres, tous fondus dans un même creuset, formant un esprit soudé qui fait merveille. est-ce assez pour vaincre les audacieux et insaisissables Brésiliens ? Dans une clameur immense, le coup d'envoi est sifflé par l'arbitre anglais, M. Reader. Que se passe-t-il alors ? Le Brésil a-t-il perdu ses moyens ? La qualité du jeu a soudain baissé les magiciens du football paraissent fatigués. Les nerfs sont ébranlés. Pourtant devant le public il faut tenir. A la mi-temps le score est vierge. La Céleste de Montevidéo, elle, n'a pas perdu son sang-froid. Sa défense est imperméable et le capitaine Varella exhorte ses coéquipiers : "Attaquez ! attaquez !" Les Brésiliens dominent encore et l'ailier droit Friaca va ouvrir le score deux minutes après la reprise. Un but qui n'apporte pas l'apaisement espéré à cette équipe qui "cafouille". L'admirable machine a des ratés, tandis que face à eux le coach au maillot azur se montre harmonieusement équilibré, sûr de lui. La Défense brésilienne plie et l'équipe tout entière se cantonne dans une fermeture du jeu qui n'est guère dans ses habitudes. Dans les tribunes, la foule ressent la détresse des siens. Ils s'apaisent un peu, les supporters tremblent. Les diables uruguayens continuent à attaquer sans répit. Soudain l'ailier droit Alcide Ghiggia centre en retrait le ténébreux Schiafino est à la réception et fusille le gardien brésilien. Rien n'est perdu pour la puissance invitante, mais celle-ci ne se retrouve plus. sans âme, Zizinho, Ademir, Jaïr, la belle triplette s'aperçoit que le bateau prend l'eau. L'équipe continue à fermer le jeu. Il reste une dizaine de minutes à jouer les les Uruguayens très mobiles, attaquant et défendant tour à tour avec une maestria étonnante, sentent la victoire à leur portée. C'est encore Ghiggia, le petit athlète au visage d'ascète, qui créera la décision. Miguez et lui vont se livrer à un remarquable "une-deux" puis Ghiggia à quelques minutes du coup de sifflet final va passer son arrière et d'un tir tendu à ras de terre il va battre le gardien noir Barbosa. C'en est fini des chances brésiliennes . Dans le stade c'est la désolation, le silence que ne troublent point les quelques cris de supporters uruguayens infimes points noirs au milieu d'une foule impressionnante. Pour les Brésiliens, c'est une catastrophe. - Du coup, écrira plus tard Jules Rimet, il n'y eut plus ni garde d'honneur, ni hymne national, ni discours devant le micro, ni remise solennelle du trophée. Je me trouvai seul dans la foule, bousculé de tous côtés, avec la coupe dans les bras ne sachant que faire. Je finis tout de même par apercevoir le capitaine uruguayen et je lui remis la coupe en lui serrant la main, comme en cachette, sans pouvoir lui dire un mot. Chiffres Nombre total de buts 1950 : 88 Le 2ème tour de la coupe du monde 1950 (Brésil) constituait un tournoi quadrangulaire et celui-ci excluait une finale. Mais le dernier match Uruguay-Brésil (2-1) du dimanche 16 juillet 1950 fut considéré comme la finale puisque les 2 équipes étaient assurées des 2 premières places Meilleure attaque 1950 : Brésil avec 22 buts Meilleur buteur 1950 : Ademir (Brésil) avec 9 buts Deux joueurs ont gagné une coupe du monde en marquant dans tous les matches : A Ghiggia (Uruguay) lors de la coupe du monde de 1950 (Brésil) a marqué dans chacun des 4 matches et Jaïrzinho (Brésil) lors de la coupe du monde de 1970 (Mexique) a marqué dans chacun des 6 matches VIDEO !
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Coupe du Monde 1938 en PHOTOS HUITIEME DE FINALE QUART DE FINALE DEMI FINALE FINALE
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Qui est le meilleur entraineur des Girondins ? On démarre +1 -1 André Gérard : 3 pts Salvador Artigas : 3 pts Luis Carniglia : 3 pts Raymond Goethals : 3 pts Aimé Jacquet : 3 pts Gernot Rohr : 3 pts Gérard Gili : 3 pts Rolland Courbis : 3 pts Toni : 3 pts Slavo Muslin : 3 pts Guy Stéphan : 3 pts Élie Baup : 3 pts Michel Pavon : 3 pts Ricardo : 3 pts Laurent Blanc : 3 pts
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Aimé JACQUET
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Aimé Jacquet : 45 pts(+) Elie Baup : 3 pts (-)
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Aimé Jacquet : 33 pts (+) Élie Baup : 15 pts (-)
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Aimé Jacquet : 36 pts (+) Élie Baup : 12 pts (-)
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Aimé Jacquet : 32 pts (+) Élie Baup : 16 pts (-) A partir de minuit on passe à -3 +3
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Aimé Jacquet : 28 pts + Élie Baup : 18 pts Ricardo : 1 pt - certains se souviennent pas d'un certain Bordeaux - Monaco gagné miraculeusement face à 11 morts de faim ?
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Aimé Jacquet : 24 pts (+) Élie Baup : 18 pts Ricardo : 5 pts (-)
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André Gérard : 3 pts Aimé Jacquet : 22 pts (+) Élie Baup : 18 pts Ricardo : 3 pts (-)
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André Gérard : 3 pts Aimé Jacquet : 18 pts + Slavo Muslin : 5 pts Élie Baup : 13 pts Ricardo : 7 pts -
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André Gérard : 3 pts Raymond Goethals : 1 pt Aimé Jacquet : 16 pts + Gernot Rohr : 3 pts Slavo Muslin : 3 pts Élie Baup : 12 pts Ricardo : 6 pts - A partir de Minuit on passera à +2 -2
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André Gérard : 4 pts Raymond Goethals : 2 pts Aimé Jacquet : 15 pts + Gernot Rohr : 4 pts Slavo Muslin : 3 pts - Élie Baup : 10 pts Ricardo : 6 pts
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André Gérard : 3 pts Raymond Goethals : 3 pts Aimé Jacquet : 16 pts + Gernot Rohr : 5 pts Slavo Muslin : 3 pts - Élie Baup : 9 pts Ricardo : 6 pts
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André Gérard : 2 pts - Luis Carniglia : 2 pts Raymond Goethals : 5 pts Aimé Jacquet : 13 pts + Gernot Rohr : 4 pts Slavo Muslin : 5 pts Élie Baup : 8 pts Michel Pavon : 2 pts Ricardo : 4 pts
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André Gérard : 3 pts Salvador Artigas : 3 pts Luis Carniglia : 1 pts - Raymond Goethals : 4 pts Aimé Jacquet : 11 pts + Gernot Rohr : 4 pts Slavo Muslin : 5 pts Élie Baup : 8 pts Michel Pavon : 2 pts Ricardo : 4 pts
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André Gérard : 3 pts Salvador Artigas : 3 pts Luis Carniglia : 3 pts Raymond Goethals : 3 pts Aimé Jacquet : 5 pts Gernot Rohr : 4 pts Gérard Gili : 2 pts Rolland Courbis : 3 pts (+) Slavo Muslin : 4 pts Guy Stéphan : 0 pt (Dehors) Élie Baup : 6 pts Michel Pavon : 3 pts Ricardo : 4 pts Laurent Blanc : 2 pts ps : Merci Gidebo , pardon de l'oubli j'ai rajouté André Gérard champion de France 1950
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Le Joueur Girondin De L'histoire
PATRICK a répondu à un sujet de bironnais dans Souvenirs, souvenirs
ça vous dirait de faire un jeu pour le meilleur entraineur ? -
Le Joueur Girondin De L'histoire
PATRICK a répondu à un sujet de bironnais dans Souvenirs, souvenirs
Girondins de l'Histoire : Alain GIRESSE -
Le Joueur Girondin De L'histoire
PATRICK a répondu à un sujet de bironnais dans Souvenirs, souvenirs
Battiston : 9 pts (-) Giresse : 25 pts (+) -
Le Joueur Girondin De L'histoire
PATRICK a répondu à un sujet de bironnais dans Souvenirs, souvenirs
Battiston : 9 pts + Giresse : 25 pts - A partir de minuit on passera à +3 -3 -
Le Joueur Girondin De L'histoire
PATRICK a répondu à un sujet de bironnais dans Souvenirs, souvenirs
Battiston : 13 pts Giresse : 19 pts + Pauleta : 2 pts - -
Le Joueur Girondin De L'histoire
PATRICK a répondu à un sujet de bironnais dans Souvenirs, souvenirs
A partir de minuit on passe à +2 -2